Certification Voltaire : 1er partie

À l’origine

Écrivant depuis de nombreuses années, je pensais maîtriser la plupart des règles d’orthographe bien que je me perdisse dans quelques-unes. Quand j’ai commencé à écrire pour les autres, les questions que je me posais alors, sur tel accord d’adjectif ou tel participe passé (les verbes pronominaux souvent) ralentissaient mon travail.

Se poser des questions, c’est bien, trouver des réponses, c’est mieux !

J’ai donc recherché un moyen d’obtenir, sinon l’excellence, au moins d’établir un cadre pour progresser. En découvrant le projet Voltaire et sa certification, je me suis dit qu’en plus d’apprendre des règles, j’allais pouvoir afficher à mes clients un résultat qui, sans forcément les convaincre, valoriserait à minima mes compétences et leur donnerait confiance.

Hasard ou destinée ?

Et vous savez ce que c’est, quand on commence à naviguer sur la toile. On clique là, puis ici et encore sur un autre lien. Et souvent, on se perd. Mais parfois, on emprunte le bon chemin (https://www.lefrancaisdespros.com). Hasard ou destinée, je vous laisse décider.

En tout cas bien m’en a pris, car c’est une belle rencontre que j’ai faite et ça n’arrive pas tous les jours. Sylvie Azoulay-Bismuth est formatrice en orthographe depuis de nombreuses années, après avoir débuté comme écrivain public. Sa bienveillance à l’égard des fautes d’orthographe vient sans doute de là. Car le problème avec l’orthographe, ce sont bien ses fautes !

Une belle rencontre

J’ignore si nous, Français et francophones, sommes les champions des règles complexes avec exception quasi systématique, mais une chose est certaine, c’est qu’on en fait, des fautes. Et en plus, on critique toujours celles des autres, sans contrôler ni pointer les siennes. Un hobby pour certains, un toc pour d’autres, un tic souvent pénible à vivre pour la plupart d’entre nous.

Avec Sylvie, on est exactement dans l’attitude opposée. Sans discours pontifiant ou démonstration grammaticale alambiquée, cette formatrice expérimentée m’a accompagné sur le chemin des mots justes. Et Dieu sait, si vous y tenez, que cela fait du bien d’en avoir, parfois.

Je raconterai dans un prochain article, mon parcours en détail jusqu’à l’épreuve du fameux Certificat Voltaire, mais la conclusion que j’en tire déjà est la suivante : faites confiance à vos acquis et travaillez vos points faibles. Et n’arrêtez jamais de vous poser des questions, car c’est en obtenant les réponses que vous chasserez les fautes de vos écrits.

Sur ce, je vais me plonger dans les accords des adjectifs de couleur qui changent de règles quand ils deviennent des noms. Rien que ça !

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